7 explications de la décadence du système hospitalier français7 explications de la décadence du système hospitalier français

7 explications de la décadence du système hospitalier français

L’un des principaux problèmes des hôpitaux publics est leur déficit abyssal.L’un des principaux problèmes des hôpitaux publics est leur déficit abyssal.
L’un des principaux problèmes des hôpitaux publics est leur déficit abyssal.
1 - Décadence de l'hôpital : Un déficit record à résorber
2 - Décadence de l'hôpital : Une dette de plus de 30 milliards !
Outre un déficit record, l’autre fléau qui pèse sur les hôpitaux est leur dette colossale qui ne date pas de l’apparition de la pandémie Covid-19, mais est endémique depuis plusieurs années !
Outre la fatigue du personnel soignant (que le virus Sars-Cov-2 n’a pas créée mais accentué), une autre explication au manque de personnel à l’hôpital, notamment d’infirmiers et d’infirmières et des aides-soignants, est le fait que ceux-ci sont mal payés.
3 - Décadence de l'hôpital : Un personnel sous-payé
Le problème de la fermeture des lits d’hôpitaux a été l'un des sujets sensibles de toute la pandémie Covid-19, car la stratégie sanitaire du gouvernement a été principalement basée sur l’engorgement de l’hôpital et la peur d’une saturation des lits, en particulier, en réanimation.
4 - Décadence de l'hôpital : Des fermetures de lits en masse
5 - Décadence de l'hôpital : Une inflation d’arrêts maladie
Le personnel hospitalier a, certes, été soumis à une forte pression depuis début 2020, départ de la pandémie Covid-19.
Les débats sur la mise en place de la semaine de 35 heures par le gouvernement Lionel Jospin en 2000 sont encore vifs quant à son efficacité.
6 - Décadence de l'hôpital : L'impact des 35 heures
7 - Décadence de l'hôpital : Une dégradation des conditions de travail
Si, effectivement, le fait que le personnel soignant soit mal payé explique le manque de soignants à l’hôpital, une autre raison de cette hémorragie réside dans les conditions de travail qui se sont dégradées avec le temps.