1 - Merveilles du Rock, 2010 et + : Lost on The River de The New Basement Tapes
Pour bien mesurer la magie de ce groupe, il faut les voir en « live », constater l’invraisemblable enthousiasme qu’il génère, et singulièrement auprès d’un public féminin survolté, non pas en mode hystérique (revoir les archives de la glorieuse Beatlemania), mais façon fans enthousiastes reprenant tous les refrains en chœur.»
2 - Merveilles du Rock, 2010 et + : Babel de Mumford & Sons
De même (voir plus loin) que le heavy rock à l’anglaise inspire aujourd’hui des groupes US, de même trouve-t-on de nouveaux venus de chez sa Glorieuse Majesté, qui revisitent les mânes du Grunge et les références aux Foo Fighters.
3 - Merveilles du Rock, 2010 et + : Royal Blood de Royal Blood
4 - Merveilles du Rock, 2010 et + : Manipulator de Ty Segall
Sur sa fiche, il est dit de Ty Segall qu’il donne, ouvrons les guillemets, dans le « Garage rock, rock psychédélique, garage punk, noise rock, lo-fi ».
Il avait mis dix ans, entre son précédent album et celui-là.
5 - Merveilles du Rock, 2010 et + : The Next Day de David Bowie
6 - Merveilles du Rock, 2010 et + : AM d'Arctic Monkeys
« Je refusais d’écouter les Arctic Monkeys, parce que j’avais entendu dire qu’ils étaient vraiment bons ».
7 - Merveilles du Rock, 2010 et + : Feral Roots de Rival Sons
Demeure une évidence : de même qu’il y aura toujours des groupes ou chanteurs de Blues, qui referont du Leadbelly ou du John Lee Hooker parce qu’il FAUT du blues dans la vie, du blues de l’époque.