Lorsqu’en 2004 ; une éternité à l’échelle de la révolution digitale que nous vivons ; Patrick Le Lay, alors Président-directeur général du groupe TF1, affirmait vendre à ses annonceurs du « temps de cerveau disponible» », non seulement, il faisait une faute de communication évidente envers les français, consommateurs de sa chaine de télévision, mais, bien plus encore, il se trompait de siècle puisqu’il laissait entendre que la télévision, média vieillissant, pouvait encore berner le téléspectateur en le captant et en lui faisant ingurgiter, sans qu’il ne s’en aperçoive, du Coca Cola.